Certains diront que le printemps est plus propice à cela, mais nous avons saisi l’opportunité d’accueillir des copines !
6 poules pour être précis. Des petites rousses de réformes, un peu sidérées, la crête palichonne, bien qu’élevées en plein air à quelques virages ardéchois de chez nous. Passer de 11000 congénères qui picorent dans un hangar, à 6 dans le vaste monde, les pattes dans la neige, ça fait bizarre à mesdames !
Compost bio, eau élevée énergétiquement, spiruline, grain, grand air et amour, le second jour elles vont déjà mieux. Elles ne se laissent plus si facilement attraper et nous ont donné 5 jolis œufs !
Mais voilà que nous sommes en retard dans la confection du poulailler… Le terrassement et le mur ont été fait avant les grandes gelées, ouf ! De quoi, bien commencer l’année. Mais le vaste prototype de la mansarde de nos poules de luxes se confectionne petit à petit. Les rouquines sont douillettement hébergées dans la cave voûtée et veillent à l’avancée du poulailler !




